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Disney News
star wars
3 janvier 2017

Rogue One : A Star Wars Story

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C’est une première dans l’histoire de la saga Star Wars ! En effet, en 2012 Lucasfilm alors racheté par The Walt Disney Company, annonce une nouvelle trilogie ainsi qu’une série de films indépendants, narrant des histoires s’intercalant dans la célèbre saga. « Rogue One : A Star Wars Story » est donc le premier du genre et nous raconte comment les rebelles ont réussi à prendre procession des plans de l’Etoile de la Mort.
Prise de risque énorme donc pour le studio, et attendu au tournant par les fans, cette première expérience se révèle fort distrayante, et arrive même à surpasser l’épisode VII, sorti en 2015. S’éloignant des précédentes œuvres de l’univers en proposant un ton plus sombre et plus violent, ce premier spin-off est visuellement incroyable et les fans de la première heure seront comblés de bonheur !

Synopsis : Cette aventure nous entraîne aux côtés d’individus ordinaires qui, pour rester fidèles à leurs valeurs, vont tenter l’impossible au péril de leur vie.  Ils n’avaient pas prévu de devenir des héros, mais dans une époque de plus en plus sombre, ils doivent absolument dérober les plans de l’Étoile de la Mort, l’arme de destruction ultime de l’Empire.

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Au cours de la bataille, les Rebelles ont réussi à dérober les plans secrets de l’arme absolue de l’Empire : l’Étoile Noire *, une station spatiale dotée d’un armement assez puissant pour annihiler une planète tout entière. Poursuivie par les sbires sinistres de l’Empire, la Princesse Leia regagne sa base dans son vaisseau cosmique, porteuse des plans volés à l’ennemi qui pourraient sauver son peuple et restaurer la liberté dans la galaxie… (*rebaptisée depuis Etoile de la Mort)

Qui ne se souvient pas de ce texte d’introduction, déroulant sous une musique épique ouvrant le tout premier film de la saga Star Wars en 1977 ? C’est à partir de ce souvenir que John Knoll, directeur de la création et superviseur senior des effets visuels chez ILM, avait eu l’idée il y a quelques temps déjà en se posant une seule question : Qui étaient ces rebelles, et comment ont-ils réussi à voler les plans secrets de l’arme ultime de l’Empire ? Son idée monte d’un cran, lorsque Kathleen Kennedy, présidente de Lucasfilm et productrice des plus récents épisodes de Star Wars, lui évoque de mettre son idée en production.
Gareth Edwards (« Monsters », « Godzilla »), dont le style de mise en scène s’appuie sur des scènes intimistes tournées en caméra portée, s’est tout de suite imposé comme le réalisateur idéal. Passionné par la saga créée par Georges Lucas depuis son plus tendre enfance, le cinéaste était donc parfait pour ce premier film indépendant. En effet, Gareth Edwards se révèle être un excellent choix, tant il apporte une identité propre au film, que ce soit dans le style ou dans le ton,  et réinvente les codes, tout en respectant cet univers que tout le monde connais. Le réalisateur a souhaité ancrer ce film davantage dans la réalité et créer une impression de réalisme cru, sale et poussiéreux, dans la veine des films sur la Seconde Guerre Mondiale. Car oui, « Rogue One : A Star Wars Story » est clairement un film de guerre. A cette occasion ce sont de tous nouveaux soldats aux services de l’Empire qui ont été créés : Les Death Troopers. Tout de noir vêtu, ces tireurs d’élite sont encore plus impressionnant que leurs frères d’arme les Stormtroopers, et n’hésitent pas une seule seconde, à tirer sur leurs ennemis sans jamais rater leur cible. En résulte donc un long-métrage très intense où la mort est sans cesse présente et où les batailles sont toutes plus impressionnantes les unes que les autres. On pourra retenir la très haletante bataille finale, d’une durée de 45min, se déroulant à terre comme dans l’air et offrant un spectacle à couper le souffle. Sans doute la meilleure scène de la saga !

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Contrairement à « Star Wars : Le Réveil de la Force », le scénario de « Rogue One : A Star Wars Story » ne souffre d’aucun temps mort, et peux se suivre en total autonomie par rapport au reste de la saga. Mais que les pures fans se rassurent, nombreux sont les clins d’œil et les caméos dissimulés tout au long du métrage. En effet, beaucoup de personnages bien connus, se retrouvent, dont Mon Mothma, la Sénatrice devenue leader de l’Alliance Rebelle, à nouveau interprétée par Genevieve O’Reilly, ainsi que le personnage joué par Jimmy Smits, Bail Organa. Lui et Mon Monthma sont parmi les seuls à penser que le Sénat doit agir s’ils veulent vaincre l’Empire. Pour eux, le temps des négociations est terminé. N’oublions pas non plus, l’apparition à plusieurs reprises du Seigeur Sith Dark Vador, qui signe ici son grand retour. Ces personnages (parmi d’autres), que l’on prend un plaisir fou à retrouver, prouve que ce film peux s’insérer sans aucun problèmes dans la chronologie des événements narrés dans la saga et offre un lien de la plus parfaite des façons avec « Star Wars : Un Nouvel Espoir ». Outre ces quelques éléments qui jouent sur la nostalgie des spectateurs, « Rogue One : A Star Wars Story » diversifie l’univers en proposant de nombreuses nouvelles planètes, où l’on passe de l’une à l’autre beaucoup trop rapidement, ce qui empêche l’histoire de se mettre en place, ainsi que de nouveaux vaisseaux (les U-Wings) et personnages.
Les plus observateurs, remarqueront aussi que le générique déroulant, si caractéristique de la saga intergalactique est ici absent, lui préférant une séquence de flashback avant que le titre n’apparaisse enfin. Un élément de plus, qui montre la volonté de Lucasfilm, de se détacher de sa saga historique. Et ce n’est pas un mal, bien au contraire, car cela permet de bien poser les bases de l’histoire et du personnage principal. 

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Cet opus propose toute une galerie de nouveaux personnages, anecdotiques certes et ne dégageant pour ainsi dire pas vraiment de sympathie, si l’on compare avec les autres, mythiques de la saga. Attachants mais assez froids, ce tout nouveau casting, présente tout de même des personnages forts,  à commencer par Jyn Erso, incarnée par Felicity Jones. Jyn est une jeune femme impétueuse et insoumise qui va se joindre à l’Alliance Rebelle pour entreprendre une mission désespérée. A mi-chemin entre Princesse Leia et Rey, Jyn est une femme forte, loyale et dotée d’une détermination farouche.
Le rôle de Cassian Andor, un officier du renseignement respecté au sein de l’Alliance, a été confié à Diego Luna. Initialement, on suppose que Cassian est simplement un officier dans l’armée des rebelles, un homme dévoué à sa cause et qui ne montre aucune pitié, mais au fil de l’histoire, on découvre que lui aussi a un passé…
Chirrut Îmwe est le moine aveugle que Jyn rencontre lorsqu’elle arrive à Jedha avec Cassian. Même s’il est aveugle, Chirrut est tout sauf privé de perceptions. C’est un combattant habile aux talents multiples capable de lire dans le cœur de ceux qui l’entourent. C’est Donnie Yen, un des plus populaires acteurs d’Asie et un expert en arts martiaux, qui l’interprète.
Chirrut n’est pas seul sur Jedha lorsqu’il rencontre Jyn et Cassian : il est accompagné de son ami de toujours, le fidèle Baze Malbus. Soldat pragmatique et tireur hors pair, ce dernier a grandi auprès de Chirrut et se déclare prêt à suivre son meilleur ami jusqu’aux confins de l’univers. Jiang Wen, l’une des stars les plus populaires de Chine, est un choix parfait pour incarner Baze.
Bodhi Rook est un pilote de vaisseau de transport qui travaille pour l’Empire mais change d’avis lorsqu’il est confronté à une terrible vérité. Riz Ahmed, incarne ce personnage.
Qui dit nouvelle aventure dans lunivers de Star Wars, dit évidemment nouveau droïde. Le K-2SO, un garde de la sécurité de l’Empereur reprogrammé qui est à présent du côté de l’Alliance. Ce droïde d’une taille de 2,15 m est joué par Alan Tudyk, qui apporte son sens du tempo, son humour et sa présence à ce personnage créé en motion capture. Grand et impressionnant, K-2 possède donc les capacités physiques d’un droïde de l’Empire et un esprit enfantin. Cela donne lieu à quelques situations cocasses…
Saw Gerrera est sans doute le personnage le plus complexe de cette histoire. Saw est un hors-la-loi, un rebelle, un homme convaincu que l’Empire doit être vaincu. Gareth Edwards a choisi pour ce rôle l’acteur oscarisé Forest Whitaker. Saw est un homme qui a rejeté le Sénat parce qu’il les jugeait inefficaces, et qui a lancé sa propre campagne contre l’Empire. Ses méthodes sont impitoyables et il n’hésitera pas à tuer des innocents pour ce qu’il croit être le bien de tous.
Le Directeur Orson Krennic joue un rôle clé dans l’histoire de « Rogue One : A Star Wars Story ». C’est l’homme qui a supervisé l’Étoile de la Mort, une arme dont il sait qu’elle permettra à l’Empire de prendre le contrôle absolu de la galaxie et d’y faire régner la terreur. Ben Mendelsohn incarne ce malveillant personnage.
Galen Erso, interprété par Mads Mikkelsen, est le père de Jyn et un brillant scientifique. C’est un génie universel, célèbre dans toute la galaxie. Théoricien hors pair, mathématicien et expert en physique expérimentale, il travaille sur un projet de recherche top-secret pour l’Empire, sous l’œil attentif du Directeur Krennic.

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 La principal qualité de « Star Wars : A Star Wars Story » est sans nul doute, son aspect visuel. Que ce soit au niveau des décors et des effets spéciaux, Gareth Edwards nous en met littéralement plein les yeux ! L’Angleterre, l’Islande, la Jordanie et les Maldives, prêtent avec beauté et dépaysement leurs paysages aux différents lieux traversés par les personnages.
Ainsi, pour créer la ville sainte de Jedha, les chefs décorateur Neil Lamont et Doug Chiang se sont inspirés de la vieille ville de Jérusalem et des fortifications antiques de Massada situées dans le désert de Judée en Israël. Le Paris de l’Occupation a également été une influence majeure dans la création de Jedha.
Après avoir quitté les ruines de Jedha, Jyn et les rebelles prennent la direction des montagnes glaciales et humides d’Eadu, un environnement à l’opposé des paysages arides et désertiques de la ville sainte.
Dans leur quête des plans de l’Étoile de la Mort, Jyn et ses compagnons atterrissent enfin sur la planète idyllique de Scarif. L’essentiel de l’action du troisième acte se déroule donc sur la luxuriante Scarif, notamment les impressionnants affrontements entre les rebelles et l’Empire, tandis que Krennic tente de les empêcher de dérober les plans de l’Étoile de la Mort.
La base rebelle de Yavin 4 et l’Etoile de la Mort sont bien sûr également présentes et assure aux aficionados un sentiment de nostalgie face à ces lieux mythiques si familier.
Le long-métrage bénéficie aussi d’effets-spéciaux à couper le souffle, notamment lors des batailles spectaculaires, et même si l’on ressent les nouvelles technologies utilisées (notamment la « motion capture » assez flagrante), l’on a plaisir a retrouvé ce côté « old school » propre à l’œuvre de Georges Lucas, que l’on aime tant.

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Le compositeur oscarisé Michael Giacchino (« Star Trek Sans Limites », « Zootopie »…) a écrit la musique de ce nouveau film. Là aussi, la partition est une grande réussite, et arrive même à offrir quelques frissons lors des scènes d’action. Tout en s’inspirant de la musique originale de John Williams, Michael Giacchino réussi à s’approprier avec talent le thème emblématique. Il propose donc une partition musicale soignée et épique accompagnant à merveille les images.

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Lucasfilm et Disney ont donc réussi ce pari risqué, celui de proposer une nouvelle série de films au sein de l’univers Star Wars. Respectant l’œuvre originale, tout en la modernisant, « Rogue One : A Star Wars Story » vaut aussi pour son scénario solide et ses scènes de combats qui rentreront vite dans le Panthéon des scènes culte  de la franchise.
Même si l’on peut regretter le manque de charisme des personnages, le casting sous la houlette de Gareth Edwards, arrivent haut la main, à nous procurer le même plaisir que lorsque  l’on découvre Star Wars pour la première fois. Une claque visuelle, qui jusqu’à son dénouement magistralement mis en image, nous tiens en haleine.
40 ans après « Un Nouvel Espoir », l’univers créé par Georges Lucas n’a pas fini de nous surprendre !

 

17 décembre 2015

Star Wars : Le Réveil de la Force

 

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En 1977, un film va révolutionner le cinéma, ce film réalisé par un jeune cinéaste méconnu du grand public parviendra à conquérir le monde entier. « Star Wars », un phénomène qui ne cesse de séduire toutes les générations épisodes après épisodes. Aujourd’hui, 10 ans après la fin de la seconde trilogie (loin d’être parfaite), Disney et Lucasfilm ont la lourde tâche de relever le défi de proposer un tout nouvel épisode à cette Guerre des Etoiles. « Star Wars : Le Réveil de la Force », attendu par le monde entier depuis des années, est enfin sur les écrans français avant même les Etats-Unis.
Opus entouré de mystère, il procurera sans doute beaucoup d’émotions aux spectateurs fans ou non, en étant le digne successeur des épisodes IV, V et VI ! Attention le phénomène Star Wars est de retour pour le meilleur ! 

Synopsis : Plus de trente ans après la bataille d'Endor, la galaxie n'en a pas fini avec la tyrannie et l’oppression. Les membres de la Résistance, combattent les nouveaux ennemis de la république : le mystérieux Kylo Ren et les troupes du Premier Ordre. Au même moment, Finn, un Stormtrooper qui vient de s’échapper, rencontre une jeune femme nommée Rey, pilleuse d'épaves sur la planète Jakku…

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J.J. Abrams, en grand fan de la saga intergalactique qu’il est, a réussi le pari fou de donner une suite à un film réalisé il y a une trentaine d’année tout en apportant le modernisme d’aujourd’hui. Un travail difficile quand on sait que « Le Retour du Jedi » constitué une belle et vraie fin à la saga. Que les spectateurs se rassurent donc, le scénario est parfaitement écrit et arrive à merveille, à faire le lien avec les précédentes productions. On sent bien, la parfaite maîtrise du sujet par son réalisateur et sa volonté d’attirer le public d’aujourd’hui en accueillant de nouveaux personnages incluant une certaine modernité, tout en satisfaisant les fans de la première heure, en gardant les fondamentaux et quelques éléments bien connus de tous.
Ces éléments sont principalement issus de la première trilogie à laquelle le cinéaste est particulièrement attaché. Et ils nous le fait clairement savoir en rendant hommage à « Star Wars – Episode IV : Un Nouvel Espoir », car oui, c’est peut-être là que certains critiqueront ce nouvel opus. En effet, certains éléments sont un copié collé de l’épisode IV, et ne sont donc pas très originaux… Ceci dit l’ambiance mystique, et les scènes d’action à couper le souffle qui se dégageaient de la première trilogie sont de retour, plus moderne que jamais, pour le plus grand plaisir de tous !
« Star Wars : Le Réveil de la Force » réserve bien sûr, également son lot nouveauté, apportant un vent de fraicheur à l’univers de Georges Lucas. Nouvelles planètes, nouvelles créatures, mais également histoire plus sombre et violente, certainement la plus sombre de toutes, sont autant d’éléments qui donnent bon espoir pour ce début de nouvelle trilogie et laisse présager le meilleur pour la suite.

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Le point le plus fort de ce film, est sans aucun doute, ses personnages. Dès le début de l’intrigue, nous tombons littéralement sous le charme de cette nouvelle génération d’acteurs inconnus, qui n’ont rien à envier aux stars de la saga. Il faut dire que J.J. Abrams, a ici pris le temps d’introduire et d’amener les personnages comme il le faut vers le public, pour qu’il se passe tout de suite un sentiment d’attachement, et le moins que l’on puisse dire, c’est que ça marche !  
Comment ne pas succomber au charme de Rey, une pilleuse d'épaves solitaire vivant sur la planète Jakku. Incarnée par une Daisy Ridley, aussi incroyable que charismatique, elle est notre coup de cœur du côté des rôles féminin de ce film !
Finn, joué par John Boyega, est un Stormtrooper en fuite, pour des raisons que nous ne dévoilerons pas ici. Il est l’un des personnages les moins attachants du récit même si ceci n’enlève rien au talent de l’acteur.
Kylo Ren, le nouveau grand méchant de la galaxie Star Wars. Aussi bien complexe que maléfique Kylo Ren est clairement le pire ennemi que les héros ont connu et la menace est bien réel lorsque l’on connait son passé. Plus violent que Dark Vador, c’est Adam Driver qui lui prête ses traits. Un acteur tout bonnement incroyable, d’un charisme fou, bref, à suivre de très près…
S’il est un personnage, dont le public adhérera dès sa première apparition à l’écran, c’est bien BB-8, le petit droïde plein de charme et très expressif, digne successeur de R2-D2.
N’oublions pas bien sûr le grand retour du casting original, plus en forme que jamais (mention spéciale à Harrison Ford). Un sentiment de nostalgie à chacune de leurs apparitions qui sonne comme des retrouvailles avec une famille après une trentaine d’années d’absence. Han Solo (Harrison Ford), Leia (Carrie Fisher), Luke Skywalker (Mark Hamill), Chewbacca (Peter Mayhew), C-3PO (Anthony Daniels) et R2-D2 (Kenny Baker), ils sont tous là !

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Côté effets visuel, c’est également un retour aux sources. Nous voyageons dans des décors grandioses qui, pour la grande majorité, sont réels, adieu donc l’abondance de décors numériques de la seconde trilogie. Les marionnettes sont aussi de retour et donne aux créatures peuplant les différentes contrées traversée par les héros, un sentiment de réalité bienvenue. J.J. Abrams a également souhaité tourné le film sur pellicule 35 mm, ce qui donne au film une vision esthétique très old-school, qui s’intègre parfaitement à la première trilogie.
Il en sort un résultat magnifique, à la hauteur de la saga et tout cela renforcé par les évolutions techniques en matière d’effets spéciaux.
Enfin, les célèbres musiques, qui ont en partie participé au succès de la saga, sont toujours admirablement composées par John Williams. Mais en revanche, pour ce qui est des morceaux inédit, le célèbre compositeur n’a semble-t-il pas été très inspiré, dommage sur ce coup là…

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« Star Wars : Le Réveil de la Force » est sans conteste l’épisode de transition, et un passage de relais entre l’ancienne et la nouvelle génération tout aussi talentueuse.
Truffé de clins-d’œil entre humour qui fait mouche mais sans jamais en faire de trop et émotion forte, les spectateurs les plus anciens retrouveront tout ce qui a fait le succès de la saga  Star Wars, tandis que les plus jeunes, découvriront un univers très riche, tant visuellement qu’historiquement. Les questions que tout le monde se posent depuis quelques mois (Mais où est Luck ??), trouveront enfin leur réponse…ou pas, enfin pas toutes, laissant quelques-unes en suspend et donnant encore plus l’envie de voir la suite (l’épisode VIII, sortira en France le 24 mai 2017).
Le pari est donc plus que réussi pour J.J. Abrams, Disney et Lucasfilm et signent le retour en fanfare de la saga la plus intergalactique du cinéma !
Il ne vous reste donc plus qu’à sauter dans votre X-Wing, direction les salles de cinéma, pour un voyage dans une galaxie lointaine, très lointaine…

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